Un retour à ce blog laissé à l’abandon depuis quelques mois, parce que… Pour plein de bonnes raisons, ou pour d’autres qui n’en sont pas. Un billet à mi-juillet. Histoire de ne pas oublier.

Une année qu’on apprend à vivre avec un virus. Une année… Ça paraît long… Entre espoirs et résignation, projets, reports et annulations. On se disait que ça passerait. Alors, oui, ça se passe. Un peu à l’image de mes motivations à bloguer. Ça se passe, avec des hauts et des bas. Je suis en pleine exploration… Comme sur la planète Mars. Vais-je trouver ce qu’il me faut pour continuer ?

Février nous donne un avant-goût de printemps. Le soleil, la relative douce chaleur, les pollens qui chatouillent le nez… Tout cela annonce un renouveau. Pour ma pratique du blog, il y a aussi une envie de tester différentes choses. Pour l’instant, c’est encore à l’état de projets.

Janvier. Début d’une année qui commence comme la précédente a fini : sous le signe de l’incertitude, de la patience et de la confiance, malgré tout. Arriverons-nous à retrouver un semblant de vie où des gestes qui ont été interdits retrouvent enfin toute leur force et leur sens ? Je l’espère, je le souhaite.

Décembre. Le mois des calendriers de l’Avent, des biscuits, des préparatifs de Noël, des invitations à envoyer… Ah, ben, sûrement que cette année, y en aura moins ou plus, mais à moins de gens. L’occasion de laisser quelques notes. Juste pour le plaisir d’écrire et rien de plus.

Premier essai d’un carnet mensuel (déjà bien entamé, le mois). Il ne s’agit pas de m’étendre sur mes états d’âme, ma santé ni mon moral. Je connais des professionnels qui sauront m’écouter. Je souhaite plutôt faire un journal de mes activités dans le domaine du blog et revenir sur ce qui a été marquant dans le mot écoulé. Une sorte de newletter mensuelle.

Après un temps de mise à distance, je reviens à ce blog que je vais considérer désormais comme un carnet de route. Y partageant mes états d’âme et mes réflexions, sans autre prétention que de les laisser là, à la portée de tous ceux qui voudront bien s’y arrêter.