Mode “Pause”

Depuis quelque temps, j’ai passé par diverses motivations autour du blog. Il y a eu l’enthousiasme lié notamment à la crise de ce printemps, où le télétravail et les distances m’ont encouragé à bloguer. Il y a eu aussi l’envie de découvrir de nouvelles approches, et notamment les sites statiques.

Et puis, le temps a passé. Les activités ont repris un rythme un peu plus normal. J’ai continué à écrire sur mon autre blog, l’officiel, et sans doute par péché de gourmandise, je m’y suis lassé. Et j’ai décidé de mettre un terme à sa forme actuelle.

Mais, un nouveau projet germe dans ma tête. Donnons-lui du temps. Laissons-lui le temps de la maturation.

Reprendre le fil…

Mais bon, vous le savez bien, vous l’avez déjà expérimenté : “Chassez le naturel par la porte, il revient au galop par la fenêtre”. Je constate que je ne peux pas ne pas écrire, ne pas partager, même à quelques lecteurs hypothétiques, ce qui m’anime. Il m’est quasi impossible de me taire. Alors, sans trop savoir où je vais, je reprends ce blog.

Une liberté retrouvée

C’est Nicolas qui m’a redonné le goût du blog. Lui aussi, je crois, a louvoyé autour de ses blogs. Que garder ? Que supprimer ? Est-ce que ça intéresse quelques-uns ? Il en est arrivé à une conclusion similaire à la mienne et l’expose dans son billet “Liberté retrouvée”. Moi aussi, je me reconnais dans ses propos.

Alors, je laisse cette même liberté à toi, lecteur, de me suivre ou non, de continuer à lire mes délires ou non, à penser ce que tu veux, tu es libre. Au moins, tout autant que moi.

Sans pression… Juste pour le fun

Je fais le choix de ne plus me focaliser sur les statistiques de visites et autres commentaires. Ce carnet aura certainement une dimension un peu confidentielle et c’est très bien. Je le relaierai aux personnes que je pense qu’il pourra intéresser. Peut-être me feront-elles des retour, peut-être pas. Ce n’est pas grave.

Je ne me fixe qu’une seule règle à laquelle je ne dérogerai pas : j’écrirai quand bon me semble. Pas question de publier un billet chaque jour, chaque semaine, chaque mois, à chaque nouvelle lune. Quand ça vient et comme ça vient. Comme ce billet que tu lis, lecteur curieux.

À bientôt.