un blog

Un blog parmi tant d’autres. Un blog pas comme les autres. Pourquoi ? Parce qu’il est unique, parce que c’est le mien.

Un blog, rien qu’un blog.

Je considère pour l’instant ce blog comme un carnet de notes, un journal1, mais aussi un laboratoire grandeur nature.

Ce blog aura un autre esprit que mon autre blog : il ne sera pas (ou très peu) en lien avec réformé & connecté. Je ne sais pas s’il trouvera son audience, s’il ne parlera qu’à quelques visiteurs occasionnels, s’il deviendra une référence, me fera gagner de l’argent, atteindre la gloire ou me conduira, un jour à le fermer. Comme je ne sais pas, je me lance. Je m’y risque.

Ils croyaient que c’était impossible, alors ils l’ont fait
Mark Twain.

Pas de prise de tête.

Bien que je sois engagé dans des lieux d’Église,

  • Je ne parlerai ni de religion ni d’église, ça ouvre à des débats sans fin et assez souvent stériles.

  • Je ne parlerai pas non plus de diaconat, personne ou presque ne sait ce que c’est et que mon autre blog traite du sujet. Visitez réformé & connecté

  • Je parlerai de ce qui m’anime et m’intéresse actuellement : quelques réflexions personnelles autour du phénomène du blog, à partir de lectures et autres recherches. Le tout sans prise de tête 2.

Un lieu d’apprentissage.

Ce blog, c’est aussi un bon moyen de mieux comprendre le fonctionnement d’un site statique, de le développer, de le faire fonctionner et de l’adapter à mes besoins et envies, d’être à l’écoute des avis des visiteurs, de recevoir encouragements et critiques3.

Voilà, rien de moins, rien de plus.

Peut-être qu’un jour, je sauterai le pas de passer d’un site dynamique à un site statique. Les arguments ne manquent pas. L’article de François Charlet traite, parmi d’autres, d’une telle migration. Je n’en suis pas là. J’avance un jour à la fois, un pas après l’autre.


  1. C’est d’ailleurs le sens du mot blog. Mais de journal intime ou personnel, le blog est devenu un vrai média, un moyen de réseauté, de lier et relier d’autres blogs avec le sien, de devenir influenceur. ↩︎

  2. La non-prise de tête est une de mes motivations. Il ne s’agit pas pour moi de faire le tour de la question ni de l’épuiser, mais de lancer des impulsions. Avec cette autre motivation : trouver et éprouver du plaisir à écrire, parce que j’aime ça. ↩︎

  3. J’accepte volontiers les critiques si elles sont bienveillantes, respectueuses. Elles peuvent être sans complaisance, du moment qu’elles ne touchent qu’à ma manière de faire. ↩︎